Titre : Cleat Catcher (VO)
Auteur(e) : Celia Aaron, Sloane Howell
Maison d’édition : Auto-édition (Inédit en France)
Genre : Romance / Contemporain
Parution : 2016 (USA)
Lu en anglais
Note : 16/20
Résumé :
Que se passe-t-il quand l’impertinente groupie sportif rencontre le joueur de ses rêves?
Nikki Graves est connu pour créer des listes sur les joueurs de base-ball grâce à son oeil de dénicheuse de talent – le genre de talent qui sait pimenté ses nuits sous les draps. Mais, une fois qu’elle rencontre Braden Bradford, receveur pour les Ravens, son choix du moment est fait. C’est le bon.
Braden n’a jamais rencontré une femme comme Nikki, et il ne pourras pas obtenir assez de part son intelligence, ni de son grand coeur. Mais la vie n’est pas toujours aussi direct tout comme la connexion entre Braden et Nikki. Lorsque la famille fait des objections et les trajectoires de carrière commencent à prends une tournure importante, Braden sera-t-il capable de garder cette décision toute une vie?
Avis de Jinxx :
Bonne suite et fin de cette mini nouvelle sur des couples improbables dans le milieu du baseball.
Ici, on suit le deuxième couple de la série qu’est Nikki et Braden que j’appellerais Brandon. Ils sont ensemble, ils vivent le grand amour et … et voilà. Bon il y a des hauts et des bas dans le couple mais, c’est classique.
Je ne saurais quoi dire sur cette deuxième partie, à part que c’est une très bonne continuité de la premier partie. En effet, on les connait déjà depuis, et on les voyait très souvent. Et comme je l’ai dit dans ma première chronique, je vais vous parler d’eux.
Commençons par Nikki. Elle, c’est le genre de fille que j’aimerais pas être amie avec, ou du moins, j’aurais eu du mal à être amie avec elle. Elle est sympa et dynamique, c’est vrai mais elle peut être méga chiante et lourde par moment. Et pourtant…. Elle a un grand cœur et sait prendre soin de ses amis (et de ses amants). Bref, j’hésite encore à me faire pote avec elle (sans parler de son côté de groupie du sport… j’aime bien le sport mais pas des masses). Quoique, après réflexion, je la trouve plutôt réfléchie. Enfin, pas trop non plus, il ne faut pas trop demander non plus. Comme dit précédemment, elle a un grand coeur, mais parfois elle se laisse déborder par ses propres sentiments et celui des autres. Je ne dis pas qu’elle est naïve, non loin de là, mais par moment elle a un peu de mal à se poser (tout comme son amie d’ailleurs). Au final, Nikki peut être sympa malgré sa chiantise de groupie.
Brandon alias Braden, quand à lui, il est à l’image de se qu’on pourrait se donner d’un joueur de renommé. Classe, sensuel, arrogant, et …. pleins de choses. Une chose est sûre, c’est qu’il a bien fait d’être en couple avec Nikki. Je trouve qu’ils vont bien ensemble. Ouais, ouais. Un couple parfait ! Tellement parfait qu’il réussi à embrouiller la famille. Ceci dit, Brandon est maladroit. Il a du mal à exprimer ses émotions face à sa dulcinée. Il est balaise sur le terrain mais une fois face à la vie sociale, aïe catastrophe. La jalousie est un mauvais défaut mec. Sinon, il n’est pas déplaisant (un tout petit peu quand même).
Sinon, qu’est-ce que je peux dire de plus… pas grand chose, car au final comme je l’ai dit précédemment, ça ne fait que suivre l’idée principale de la première partie. Et comme toujours, on reconnait la patte de Celia Aaron qui a un talent inouïe dans ce genre de romance. Sans compter que le personnage de Nikki s’y prête bien au jeu. SEXE SEXE SEXE SEXE !!!!!!! OH YEAAAAAAAAHHHHHH !!!!!!!
Moralité de l’histoire, Sloane Howell fais-moi rêver avec ta patte. Le monde du sport pourrait me plaire, donc je lui laisse une seconde chance. En tout cas, bravo à vous les auteures.
Merci à Celia Aaron, Sloane Howell et Ardent Promotion pour ce service presse.
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