The Cleat Chaser Duet (t1) : Cleat Chaser

cleatchaser1Titre : Cleat Chaser (VO)
Auteur(e) : Celia Aaron, Sloane Howell
Maison d’édition : Auto-édition (Inédit en France)
Genre : Romance / Contemporain
Parution : 2016 (USA)
Lu en anglais
Note : 16/20

Résumé :
Kyrie Kent déteste le baseball. Elle déteste encore plus les joueurs. Quand sa meilleure amie l’entraîne à un match des Ravens, elle préfère lire un livre au lieu de suivre le match… Jusqu’à ce que son regard croise celui du lanceur qui l’attire comme un aimant. Lutter contre l’attirance d’Easton Holliday est facile. Tout ce qu’elle a à faire c’est de garder ses distances, éviter le stade et de garder la tête baissée. Du moins, tout cela  aurait pu fonctionner, si ce n’est qu’Easton n’a pas l’intention de laisser Kyrie s’en aller aussi facilement. Quand un autre joueur tente d’attirer l’attention de Kyrie, Easton balancera toutes ses barrières par la fenêtre. Kyrie l’abandonnera ou ira-t-elle à sa rencontre ?

Avis de Jinxx :
Pour mon premier roman sportif, je suis un peu mitigée. Il n’est pas mauvais en soit, non loin de là, juste que je n’ai pas été transcendée.
Kyrie est une femme qui mène une carrière agréable. Elle a une vie sociale, une amie complètement tarée et elle est célibataire. En gros, elle a tout pour plaire. Mais voilà qu’apparaît le mâle et son monde bascule.

Bon, je rassure tout le monde, mais quand je dis que « son monde bascule » c’est pas dans le sens « Ouais, il est trop beau. C’est mon prince charmant #samèrelalicornetropbonne « . Non, non ! Loin de là ! En fait, c’est le mec qui ruine totalement son univers à elle. En gros, ce mec est juste limite un pot de colle. Ceci dit, comme toute femme, elle a ses faiblesses et ça se comprend.

Tiens, en parlant des personnages. Kyrie Kent -comme je l’ai dit plus haut – est une femme agréable à vivre et qui a des ambitions louables. Même si son passé la laisse méfiante envers la gente masculine, elle me parait être sympa. En ce qui concerne Easton Holliday, ben… je dirais que ce mec est comme n’importe quel mec : je la veux cette nana car elle me résiste. En plus, vu que c’est une célébrité ben…. il ne passe pas inaperçu et toutes les groupies sont à cheval sur lui.

Pour ce qui est des autres protas, je dirais que les auteures n’ont pas cherché à aller loin. En effet, j’ai eu du mal à me situer à cause d’un soucis au niveau de la promo des tomes, donc ça m’a un peu beaucoup gâcher la lecture de ce tome et surtout la compréhension. Parce que connaissant la situation, eh bien… c’était confus dans ma tête. Je ne vais pas trop les développer ici, mais vous en saurez plus lors de ma prochaine chronique.

En petit bonus, j’ai adoré la soeur d’Easton (Kasey Holliday = > oh yeah ce sont les vacances!!!!). Pourquoi ?

  1. C’est une lesbienne
  2. C’est une tarée
  3. Elle a pas la langue dans sa poche
  4. Elle sort des théories du chaos de ouf (ouais dire que Fifty shades est un guide pour tester des trucs, moi je dis que  Melona perverti trop d’âme pure)

Bref, j’aime bien sa joie de vivre.

Au final, j’ai bien reconnu la patte de Celia Aaron dans cette histoire : cru, insolent, sexe, sexe, sexe, sexe (bon ok, j’exagère sur le nombre de sexe mais quand on voit des « fuck me » à toutes les sauces, il y a de quoi se poser des questions). Cette collaboration me plait bien, j’aimerais bien autre chose, mais dans un autre style. Oh ! En ce qui concerne le sport qu’est le baseball, est-ce qu’on en parle dans ce roman ou plutôt dans cette nouvelle ? Euh… moyennement. C’est plus une histoire de couple-cul qu’une histoire d’action sportif avec un petit fond de love story. Mais ça se comprend sur le pourquoi, on en est arrivé là.

 

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