KGI (t10) : Darkest Before Dawn

kgi10

Titre : Darkest Before Dawn (VO)
Auteur(e): Maya Banks
Maison d’édition : Penguin Groups, collection Berkley (Inédit en France)
Genre : Romantic suspens
Parution : 2015 (USA)
Lu en anglais
Note : 18/20 ❤

Résumé :
L’énigmatique Hancock a été à la fois l’ennemi et l’allié des équipes du KGI depuis aussi longtemps qu’ils le connaissent. Travaillant toujours dans des zones sombres, la véritable allégeance d’Hancock n’a jamais été apparente, mais une chose est certaine, il ne laisse jamais rien se mettre sur son chemin.
Mais maintenant, sa croyance absolue dans la primauté de son but ultime est mise en jeu par une captive qu’on lui a ordonné de surveiller, peu importe ses souffrances dans sa prison. Elle est la seule femme qui n’ait jamais réussit à pénétrer dans les murs rigides qui entourent son cœur de glace, mais va-t-il autoriser ses sentiments perplexes envers cette magnifique victime, à détruire la mission sur laquelle il a passé des années dessus, ou va-t-il être forcé de la sacrifier pour « le bien commun ».

Avis d’Ash :
Après les déceptions des tomes précédents, je ne savais pas trop à quoi m’attendre et surtout j’appréhendais ma lecture puisque c’est l’histoire d’Hancock, le seul et l’unique badass qui a réussit à éclipser Garrett dans mon cœur. Enfin bref, j’ai totalement dévoré ce livre qui nous tient en haleine du début à la fin, on enchaîne les surprises et les rebondissements pour notre plus grand plaisir !

Guy Hancock est un peu comme le grand méchant loup de KGI mais cela fait quelques tomes que l’on voit des facettes plus douces et tendres de lui, en gros on découvre son « humanité » qu’il nie tant avoir. Il est en effet une machine sans émotions la plupart du temps, un enfoiré de première mais aussi d’une loyauté et d’une droiture sans bornes lorsqu’il s’agit de ses règles et de se battre pour le bien commun. Il aura fallu qu’il rencontre une jeune femme qui représente tout ce pour quoi il se bat, pour qu’il se remette en question et au final devienne l’homme qu’il avait toujours été voué à devenir.

Honor est un tout nouveau genre d’héroïne pour KGI, une femme à part qui n’a pas d’égal. Elle est une sorte de mélange de Maren, Eden et PJ, ce qui peut expliquer pourquoi Hancock a craqué pour elle. En tout cas, sous sa douceur et sa générosité se cachent une ténacité et un courage à toutes épreuves. Sans en avoir l’air, Honor est la femme la plus badass de la série et de loin ! Elle fait honneur à son prénom et le porte parfaitement. On ne peut que s’attacher à ce personnage qui est un modèle de résilience et d’espoir sans le vouloir.

Ce tome a été plein d’étonnements, rien qu’avec la personnalité d’Hancock, ou plutôt jusqu’où il se retenait jusqu’à présent. Toutes ces fêlures, toute cette intense ne le rendent que plus incroyable et sexy. Honor est la parfaite partenaire pour lui, elle l’équilibre et le tient en laisse. Cela fait des étincelles entre eux mais pas seulement. Ils se sont rencontrés au mauvais moment, entre torture, trahison et mensonge, ils vont s’infliger bien des souffrances, parfois inutiles. Il n’y a pas à dire, Maya Banks aime bien faire baver ses personnages, rien que pour les rendre plus complexes encore.

Même si j’ai adoré cet opus, je pense que cela aurait été plus judicieux d’en faire le premier d’un spin-off sur Titan. On ne voit les Kelly que dans le dernier quart du livre et encore, on aurait pu s’en passer. Alors que les membres de l’équipe de Hancock sont très présent, ils deviennent intéressants et fascinants au fil de la lecture. Il y a vraiment du potentiel avec chacun d’entre eux et j’espère qu’on les reverra par la suite. Darkest Before Dawn était une belle romance mouvementée douce-amère mais ô combien jouissive… Pourtant je ronge déjà mon frein à l’idée d’attendre 2017 pour le prochain tome…

Merci à Maya Banks pour ce service presse !

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