L’Odieux Connard (t1) : Qu’il est bon d’être mauvais

12 août 2016 · par chroniquesaleatoires · dans Chroniques d'Ash. ·

Titre : Qu’il est bon d’être mauvais (VF)
Auteur(e) : L’Odieux Connard
Maison d’édition : Point, collection Documents
Genre : Humour
Parution : 2015 (France)
Note : 17/20

Résumé :
« Qu’il est bon d’être mauvais ». C’est le credo de l’Odieux Connard dont le blog compte déjà près de 4 millions de lecteurs. Dans cet ouvrage, il persiste à signer des spoilers de films, tels Twilight en deux minutes, mais il s’interroge aussi sur des questions beaucoup plus pratiques : Comment parler le jeune ? Comment survivre au monde hostile d’une grande surface ? Faut-il coucher le premier soir ?
Ce livre est composé aux deux tiers de textes totalement inédits et d’articles cultes du blog, comme l’art mystérieux du selfie ou la page Facebook d’Hitler.

Avis d’Ash :
Je suivais déjà l’Odieux Connard sur son blog et facebook depuis un petit moment et le fait de l’avoir rencontré dans un salon m’a vraiment donné envie de lire ses livres, son recueil de ses plus belles perles. Bien entendu ça n’a pas raté, du début à la fin cela a été enchaînement de fous rires, tantôt seule, tantôt avec des amis. D’ailleurs, je vous recommande de lire ce livre à plusieurs, je trouve que c’est ainsi qu’il se révèle le plus !

Ce livre se divise en diverses parties, toutes aussi prenantes les unes que les autres, mais bien entendu, chacun à ses préférences. Dans mon cas , c’était le cinéma et la société. Entre spoilers sous forme de résumés ultra compact, QCM qui vous prend généralement pour un con, des mémos désopilants ou bien des profil facebook impensable inventés, on ne boude pas notre plaisir.

Dit comme ça, on pourrait croire que c’est un enchaînement de bêtises, de délires et même une enchère de cynisme. Pourtant derrière chaque pique, il y a une réflexion qui est souvent expliquée et poussée, qui arrive parfois à nous faire revoir notre propre avis sur la chose. L’Odieux Connard entre dans une brèche qui a un énorme potentiel, car même s’il y a des livres similaires, le lien arrive tout de même à se démarquer et à plaire.