Dodie Jenks (t1) : Bittersweet Sixteen

dodie jenks 1Titre : Bitterweet Sixteen (VO)
Auteur(e) : Lexi Witcher
Maison d’édition : Auto-édition (Inédit en France)
Genre : Young Adult / Fantastique
Parution : 2014 (USA)
Lu en anglais
Note : 15/20

Résumé :
Une malédiction vieille de 300 ans… Les Enfers ne sont rien comparé à la fureur d’une femme trahie. Bernadette s’est vengée sur la famille de celui qu’elle aimait, à chaque génération la fille aînée meurt le jour de ses 16 ans.
30 jours à vivre… C’est ce qui reste à Dodie Jenks, une lycéenne typique et banale jusqu’au jour où elle découvre la malédiction qui pèse sur elle. Elle ne veut pas croire que c’est sa destinée, mais comment faire si c’est vrai ? Rendre visite à une voyante n’a pas amélioré les choses. On lui a dit de ne pas chercher à briser sa malédiction, mais sa famille est prête à tout pour la garder en vie.
Un Warlock chaud bouillant… Leopold est un puissant sorcier mercenaire, en d’autres termes un Warlock. Alors qu’il cherche à retrouver le respect de son conven, il accepte de venir en aide à Dodie, de briser la malédiction de Bernadette. A 18 ans, il a déjà plusieurs masters à son actif et des soucis de socialisation. Il est mal à l’aise auprès des autres, mais étrangement, Dodie et lui se rapproche très vite et font tout pour qu’elle survive à son 16ème anniversaire.

Avis d’Ash :
Une vieille malédiction qui sévit depuis des années sur une famille en toute somme normale. Un univers magique avec des pouvoirs incroyables et des combats complexes. Une histoire d’amour difficile, pour ne pas dire interdite. On retrouve tout cela dans Bitterweet Sixteen qui aura été au final une lecture assez plaisante qui dont l’intrigue n’a pas été exploité à son maximum selon moi.

Dodie est une adolescente de 15 ans, bientôt 16, assez effacée qui n’a pas beaucoup confiance en soit. Elle se dispute avec son frère, elle fait de son mieux dans les études et elle redécouvre sa grand-mère. Derrière toute cette banalité se cache une jeune fille maudite, qui ne lui reste plus que 30 jours à vivre. Avec aussi peu de temps, on se doute bien que les choses vont aller vitesse grand V et c’est notamment le cas pour la personnalité de Dodie qui va totalement changer. Elle va se dévoiler, devenir plus courageuse, fashionista tout juste découverte et surtout apte à s’adapter très vite.

Heureusement pour elle, elle peut compter sur les membres de sa famille et un cercle d’alliés afin de venir à bout à la malédiction. Leopold est bien entendu le plus important. Le magicien de 18 ans est un véritable génie, mignon comme tout et qui fait de son mieux pour sauver Dodie. Entre ces deux-là, ça colle immédiatement, mais on a du mal à voir comment les choses pourraient bien se finir. Côté familiale, c’est avant tout la grand-mère qui se détache, une véritable ancre pour la jeune fille à la dérive. Son grand-frère est plus compliqué à appréhender, on n’arrive pas à vraiment comprendre ses sentiments pour sa sœur.

En plus de ce cercle proche de Dodie, il y a Anson, le voisin étrange et fascinant qui pourrait bien ne pas être aussi sympathique et mignon qu’il n’y parait. Ambrielle, la voyante, semble au premier abord contre les choix de Dodie, mais rapidement elle va devenir une amie. Tout comme Sasha, la petite amie de Brody, qui est tout l’opposé de la maudite. Chaque personnage présenté à un rôle à jouer dans la malédiction de Dodie.

Cette malédiction est d’ailleurs ce qui introduit le fantastique dans l’histoire qui serait sinon un YA romantique de base. C’est toute cette partie de magie qui sauve les meubles. On découvre peu à peu le monde dans lequel évolue Leopold avec toutes ses intrigues et différences. Ce qui n’empêche pas qu’on est frustrée car on en apprend pas tant que cela, bien trop de questions restant sans réponses.

Bien que le fantastique soit au premier plan, il y a tout de même une romance qui avance assez vite. J’ai eu peur avec les prémices d’un triangle amoureux, mais ce n’était qu’une fausse alerte. La romance est douce, mignonne et ne prend pas trop de place, bien que ce soit ce qui motive les personnages principaux à s’en sortir. En conclusion, Bittersweet Sixteen est une histoire toute mignonne qui se laisse lire malgré des défauts notables.

Merci à Lexi Witcher pour ce service presse.

challengejeunesseYA438/50

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